Avec les LGV et les trains régionaux,
le Sud-Ouest rayonne
Toulouse – Bordeaux en 1h05 dès 2030. La création des lignes à grande vitesse (LGV) Toulouse – Bordeaux et Bordeaux – Dax est un projet d’avenir historique pour le Grand Sud-Ouest. Le chantier débutera en 2024 avec l’ouverture en 2030 de la ligne Toulouse – Bordeaux.
Pour une mobilité pour tous, plus écologique, les LGV rapprochent entre elles les villes du Grand Sud-Ouest. Alternative aux déplacements en avion ou en voiture, ces lignes nouvelles permettent un report modal massif. Elles créent des connexions plus rapides avec Paris et l’Europe, et font rayonner les Régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie sur les grands axes ferroviaires.
Au service de tous les habitants, les lignes à grande vitesse resserrent les liens entre les territoires du Grand Sud-Ouest. Elles sont une voie pour le développement économique durable et la transition écologique.
Soyez encore plus proches de vos proches grâce aux lignes à grande vitesse. Les LGV accélèrent certaines connexions et créent de nouvelles liaisons entre les villes du Sud-Ouest. Découvrez les futurs temps de trajet !
Le saviez-vous ? Le train à grande vitesse émet 70 à 89 fois moins de CO2 que l’avion par passager et par kilomètre. Alors que l’urgence climatique est au cœur des préoccupations, les lignes à grande vitesse offrent un mode de transport plus écologique.
En rapprochant grandes métropoles et villes régionales, la LGV donne à tout le Sud-Ouest une cohésion nouvelle et la place qu’il mérite au niveau national et européen. Tourisme, économie, social : tous les secteurs vont découvrir le développement grande vitesse.
Avec la LGV, tout devient plus fluide. Les deux nouvelles lignes à grande vitesse créent un maillage ferroviaire plus disponible et optimisé pour les trains du quotidien. A vous les services régionaux à grande vitesse pour vos déplacements de proximité !
Toulouse et Bordeaux sont à 1h05 de trajet dès 2030. Avec des temps de déplacements plus courts, les lignes à grande vitesse réduisent les distances dans le Sud-Ouest.
Plusieurs scénarios ont été étudiés sur la ligne Bordeaux-Toulouse, une des plus anciennes de France. Sa modernisation demande des travaux avec un impact et un coût importants pour faire circuler des trains à grande vitesse. Le coût à la minute gagnée serait presque supérieur de 70 % par rapport à la création de la ligne nouvelle.
Au grand maximum, la modernisation de la ligne Bordeaux-Toulouse permettrait de gagner 27 minutes de temps de trajet. La ligne nouvelle fera gagner 56 minutes, en reliant Bordeaux et Toulouse en 1h05.
Passer de 160 à 220 km/h nécessiterait des aménagements importants sur les voies existantes. Le coût peut alors excéder, en impacts et en montants, la réalisation d’une ligne nouvelle.
10 000 camions par jour circulent actuellement sur l’axe Bordeaux-Espagne. La création de la ligne à grande vitesse vers l’Espagne permettra de dégager de la capacité pour passer la part du fret ferroviaire de 3 à 18 %.
Sur les axes Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, il est indispensable de libérer des sillons pour les trains régionaux de voyageurs mais aussi pour le trafic de marchandises. Les nœuds ferroviaires de Bordeaux et Toulouse sont déjà saturés. Face à l’engorgement routier de l’agglomération bordelaise, la création d’une ligne nouvelle est une alternative à un grand contournement autoroutier.
Le trafic sur la LGV Sud Europe Atlantique (SEA) entre Paris et Bordeaux confirme le succès des lignes à grande vitesse. Les lignes nouvelles Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax apporteront 5 millions de voyageurs supplémentaires, sur un total de 17 millions prévus.
65% des déplacements en train à grande vitesse ont pour motif principal les loisirs ou des raisons personnelles (vacances, week-end, visite d’un proche). Avec des offres commerciales pour tous, le profil des voyageurs utilisant les lignes à grande vitesse est large.
Les trains régionaux assurent un trafic plus important en nombre de voyageurs. En distance parcourue par les voyageurs, les trains à grande vitesse sont loin devant. TER et trains à grande vitesse sont complémentaires pour une mobilité pour tous, sur les trajets du quotidien et de longue distance.
La construction des lignes à grande vitesse aura une emprise sur 4830 hectares. Les milieux naturels sensibles représentent moins de 700 hectares, et les zones humides 250 hectares. La compensation environnementale, prévue et intégrée au projet, restaurera plus du double de ces surfaces.
Les lignes à grande vitesse permettront d’économiser près de 340 000 tonnes de CO2 par an : avec plus de trajets réalisés en trains, il y aura moins de déplacements en avion ou sur la route. Avec ce report modal, le bilan carbone du grand projet ferroviaire du Sud-Ouest devient positif seulement 10 ans après la fin des travaux.
En générant de nouveaux services ferroviaires, les lignes à grande vitesse profitent à tous les usagers du Sud-Ouest, en particulier ceux du quotidien. La mise en service de la ligne à grande vitesse Paris-Bordeaux s’est accompagnée d’une augmentation de 12 % des trains régionaux en Nouvelle-Aquitaine, pour améliorer les correspondances.
Avec des opérations d’aménagement ferroviaires autour de Toulouse et de Bordeaux, la création des lignes à grande vitesse rejoint la mise en œuvre des services express métropolitains (SEM/RER) des deux agglomérations.
Aujourd’hui, nos deux Régions ont l’occasion d’écrire un nouveau chapitre de leur Histoire commune. Ce projet de LGV, c’est une proximité accrue entre nos territoires et avec les grandes villes européennes, un mode de transport plus vert et une technologie d’avenir. Il s’agit d’un aménagement plus juste dans lequel le Grand Sud-Ouest ne serait pas mis de côté.
Projet soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine, la Région Occitanie, l'État français et l'Union Européenne
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